Que
me dit-on, gypaète ?
Que tu manges à peu près n'importe quoi et
de préférence au fumet de charogne !
Et que même, eussé-je abandonné de moi la nourriture
morte, au détour d'un rocher des belles pyrénnées,
tu saurais dénicher encore de la vigueur, là où
n'importe qui
aurait un haut le coeur !
Tu devrais songer à ta postérité, qui fort heureusement
est au nid protégée,
joue à la barbichette et attend sa becquée.